Hymne au bonheur
Sans préliminaires (ho que vous aimez ça), j’ai envie (c’est pas ce qui manque) de vous faire part de mes heures que je passe avec moi même, à m’amuser, à « travailler » et surtout à imaginer et rêver de ces moments de bonheur que la vie me cache et me dévoile.Ce bonheur, avec qui je valse (ou je salse pour les intimes), avec qui je joue à la mer et le sable. La mer avec ses vagues, sa langue vient me lécher, sa salive si fraîche telle une écume qui me caresse, il suffit de ce geste, pour effacer voir panser certains mal-heures. Parfois les ondes sont tellement puissantes, qu’elles détruisent même mes châteaux de sable, dieu sait combien j’en ai bâti en Espagne. Alors moi, le sable, je cède, j’ouvre mes sens, mes bras et ma bouche, me laisse caresser par cette sensation douce mais intense, jouissive mais effrayante, me donne des frémissements et des frissons, sueur chaude et froide, le nirvana total, mais je ne crie pas, pas un souffle, de peur de le faire fuir, lui, mon bonheur, au moment même que je veux goutter aux dernières secondes, il n’était plus là, je n’ai pas réussi à l’attraper !!!Voilà, le bonheur. Il faut juste le vivre et ne jamais chercher sa source, le vivre… Point.Si je vous demande de vous rappeler de la dernière fois où vous étiez heureuse et heureux… Comblées (és)?Vous voyez de quoi je parle : cette plénitude, cette sensation tellement immense et intense que votre cœur, grand soit-il, ne la supporte pas, où vous savourez chaque seconde. Le cœur bat tel un tambour, vos cris de bonheur chassent même les vautours. Vous souriez à tout le monde sans raison, vous regardez le ciel et vous le faites au nom de l’amour…et vous le faites au nom de l’amour…