Tant qu'il y a du sport , il y a de l'espoir
Donc je compte sur vous et sur votre esperit sportif.
Je file à la ville ocre...
Espace d'une femme au quotidien
On a beau lire de belles plumes, certaines restent ancrées dans notre mémoire…à chaque relecture on goûte à leur beauté impérissable…
Je vous livre ce passage qui m’est cher…
Pour le partage…
L’amour ne donne rien que lui-même et ne prend rien que de lui-même.
L’amour ne possède pas ni ne veut être possédé,
Car l’amour suffit de l’amour.
Lorsque vous aimez vous ne devriez pas dire
« Dieu est dans mon cœur » mais plutôt « je suis dans le cœur de dieu.»
Inutile de penser que vous pouvez diriger le cours de l’amour, car l’amour, s’il vous trouve dignes, dirige votre course.
L’amour n’a pas d’autre désir que celui de son accomplissement.
Mais si vous aimez, la plupart des besoins ayants des désirs, que vos désirs soient :
Se mêler et être comme un ruisseau qui chante sa mélodie dans la nuit.
Goûter la douleur de trop de tendresse.
Etre blessé par sa compréhension de l’amour, et saigner volontairement et joyeusement.
Se lever à l’aube avec un cœur ailé et rendre louange pour cette autre journée à aimer ;
Prendre du repos à midi et méditer sur l’extase amoureuse ;
Rentrer avec gratitude chez soi au crépuscule,
et alors s’endormir avec une prière en son cœur pour l’aimé, et un chant de grâce sur les lèvres.
Le prophète
Khalil JABRAN
Je veux écrire sur le beau temps, le parfum de mes sentiments, la couleur de mon amour, l’éclat de ses yeux, la douceur de son toucher, mais je culpabilise et rien ne me vient à l’esprit. Dans ce monde étroit, le Liban accapare mon esprit.
Cette guerre qui rature l’histoire, m’attriste aussi… mais n’affaiblit nullement mon espoir .
Ce rêve qu’est la paix pèse chacun de nous, je marche des fois courbée à force d’y penser…
Pendant que le monde arabe hiberne pourtant ce n’est pas la saison, les autres arabes luttent pour leur cause… comme on dit, qui sème récolte, on verra bien ce qu’on va récolter tous…
Je n’arrive pas à épouser cette lâcheté ni cette indifférence !!!
J’arrête de penser, une voix insistante, me signale que mon plat est prêt, et que je dois fermer mon lap top en me rappelant mon problème de vue. Je jette un regard sympathique et me retourne vers mon écran on lui disant que j’arrive…
Je replonge dans mes pensées qui voltigent, je songe à terminer ce que j’ai entre les mains, soudain cette soif qui me réveille.
Une soif étrange, seul l’élixir de la paix peut assouvir.